Le «Collectif pour
la sauvegarde des jardins et des coteaux de Malzéville »
tient à rappeler les points de désaccord suivants, à la veille du vote du projet de PLU au conseil municipal.
tient à rappeler les points de désaccord suivants, à la veille du vote du projet de PLU au conseil municipal.
1. Manque d’information de la population
-
sur l’existence même de cette enquête publique
-
pendant l’enquête elle-même, où bien peu d’explications
ont été fournies, et les enjeux du PLU non soulignés
2. Aucune prise en compte des avis et oppositions émis
par la population dans le registre d’enquête publique :
Le commissaire-enquêteur :
-
considère ces avis comme « un positionnement de
principe » (sous-entendu, idéologie pré-conçue, fermeture d’esprit, etc)
-
considère que le projet de PLU est en conformité avec
les textes réglementaires, alors qu’il est
o contradictoire
en lui-même, truffé d’incohérences (voir argumentaire LPST)
o incompatible
avec le Plan Paysage (avis émis sur le registre par d’autres associations)
o incompatible
avec le PADD (avis émis sur le registre par d’autres associations)
o en
contradiction avec le dossier spécial inondations distribué par le Grand Nancy
en juillet 2012
3. La seule et unique ligne de défense de la municipalité
et de M. Kling est : le PLU crée de nouvelles zones naturelles
par rapport au POS, preuve que la municipalité favorise les espaces
verts .
Or, toutes les communes sont obligées de réviser leur POS en
PLU.. Le POS de Malzéville a été adopté en 1998 ! De nouveaux textes
réglementaires adoptés depuis cette date encadrent les PLU et réduisent les
possibilités d’urbanisation.
Malzéville n’a pas eu d’autre choix que de créer ces
nouvelles zones naturelles ou agricoles. Une partie d’entre elles sont
d’ailleurs inondables.
4. Le collectif a, à plusieurs reprises, demandé au maire de
les recevoir en délégation et se sont heurtés à un refus. Ils ont demandé
aux élus d’organiser une réunion publique avant le vote du PLU au conseil
municipal, c’est-à-dire avant le 18 avril. Nouveau refus.
Ils estiment donc ne pas avoir d’autre choix que d’intervenir
brièvement à la réunion publique du 17 avril (sur le thème du
déplacement urbain) pour remettre au maire les 1250 pétitions actuellement
recueillies.
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