PROCHAINE REUNION

PROCHAINE REUNION : l'Association "Les pieds sur Terre" se réunira au café de la Paix (Nancy) le mardi 16 avril à 19h

lundi 29 avril 2013

VOTE DU PLU DE MALZEVILLE : UNE BIEN TRISTE PRESSE

A l'occasion du vote du PLU de Malzéville lors du conseil communautaire le 19 avril dernier, l'association "les pieds sur terre" et le collectif pour la sauvegarde des coteaux de Malzéville a exprimé son mécontentement devant le siège de la communauté urbaine du Grand Nancy.

La presse a relaté à sa manière cette journée.

Nos journalistes ont-ils vraiment bien compris les enjeux du vote du PLU de Malzéville ?



lundi 15 avril 2013

LE 17 AVRIL : LE COLLECTIF POUR LA SAUVEGARDE DES JARDINS ET DES COTEAUX DE MALZEVILLE REMETTRA AU MAIRE LES 1250 PETITIONS RECUEILLIES


Le «Collectif pour la sauvegarde des jardins et des coteaux de Malzéville »
tient à rappeler les points de désaccord suivants, à la veille du vote du projet de PLU au conseil municipal.


1. Manque d’information de la population
-          sur l’existence même de cette enquête publique
-          pendant l’enquête elle-même, où bien peu d’explications ont été fournies, et les enjeux du PLU non soulignés

2. Aucune prise en compte des avis et oppositions émis par la population dans le registre d’enquête publique :
Le commissaire-enquêteur :
-          considère ces avis comme «  un positionnement de principe » (sous-entendu, idéologie pré-conçue, fermeture d’esprit, etc)
-          considère que le projet de PLU est en conformité avec les textes réglementaires, alors qu’il est
o       contradictoire en lui-même, truffé d’incohérences (voir argumentaire LPST)
o       incompatible avec le Plan Paysage (avis émis sur le registre par d’autres associations)
o       incompatible avec le PADD (avis émis sur le registre par d’autres associations)
o       en contradiction avec le dossier spécial inondations distribué par le Grand Nancy en juillet 2012

3. La seule et unique ligne de défense de la municipalité et de M. Kling est :  le PLU crée de nouvelles zones naturelles par rapport au POS, preuve que la municipalité favorise les espaces verts .
Or, toutes les communes sont obligées de réviser leur POS en PLU.. Le POS de Malzéville a été adopté en 1998 ! De nouveaux textes réglementaires adoptés depuis cette date encadrent les PLU et réduisent les possibilités d’urbanisation.
Malzéville n’a pas eu d’autre choix que de créer ces nouvelles zones naturelles ou agricoles. Une partie d’entre elles sont d’ailleurs inondables.

4. Le collectif a, à plusieurs reprises, demandé au maire de les recevoir en délégation et se sont heurtés à un refus. Ils ont demandé aux élus d’organiser une réunion publique avant le vote du PLU au conseil municipal, c’est-à-dire avant le 18 avril. Nouveau refus.
Ils estiment donc ne pas avoir d’autre choix que d’intervenir brièvement à la réunion publique du 17 avril (sur le thème du déplacement urbain) pour remettre au maire les 1250 pétitions actuellement recueillies.

mercredi 10 avril 2013

PETITION : MALZEVILLE, DES ESPACES NATURELS DE PROXIMITE A PRESERVER


à l’appel du « Collectif de Défense des Jardins & Coteaux de Malzéville »

1176 signatures ! = 422 web + 754 papier (10 avril 2013)


À l'intention de :

M. Rossinot, Président de la CUGN ;
M. Franoux, Maire de Malzéville ;
tous-tes les élu(e)s de Malzéville et du Grand Nancy ;
M. le Préfet de Meurthe & Moselle.
Mesdames et messieurs,
Nous, habitant(e)s de Malzéville, du Grand Nancy ou simples amoureux de la nature, demandons à M. Franoux, M. Rossinot et à tous les membres du conseil municipal de Malzéville et de la Communauté Urbaine du Grand Nancy de remettre en question le projet de PLU de Malzéville.
Le Grand Nancy se félicite régulièrement, à juste titre, d’avoir un « poumon vert » sur son territoire, celui de Malzéville : son patrimoine paysager, ses coteaux, ses vergers, ses jardins, ses sentiers, sa faune et sa flore.
Ces espaces de nature constituent un bien commun !
Nous ne voulons pas les livrer aux promoteurs immobiliers.
Nous refusons que soient urbanisés 14,4 hectares actuellement occupés par des espaces naturels qui, entre autres rôles, limitent les risques d’inondation. Nous voulons les préserver de l’urbanisation.
Nous vous demandons donc de :
revenir sur les projets d’urbanisation prévus (zones 1 AU et 2 AU) et de les classer en zones naturelles non constructibles ;
d’associer réellement la population à des projets qui la concernent en organisant une consultation locale sur la question.